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Près de Galway, en Irlande, un train fantôme erre la nuit dans la campagne, écrasant tout sur son passage. Pour les Irlandais pas de doute : il est conduit par les "Leprechaums", lutins locaux assez rogneux que le train dérangeait. Mr Pratt, lui, y avait embarqué de précieuses statuettes en or massif. Il croit plutôt à un hold-up et charge Edmund Bell de mener une enquête officieuse. Laquelle le conduira de faux fantôme en fausse secte, jusqu'à... un faux coupable qui meurt assassiné. Non sans laisser un indice fort obscur, qu'Edmund interprètera correctement in-extremis.

Un bonheur de courte duréeà Deux ans suffiront pour que Jaunes, séparé de son amie, remercié de la police, sombre doucement dans l’alcool. C’est alors qu’il se voit proposé par Daelemans, le chef de la Brigade de Surveillance et de Recherches, une mission bien particulière. Il est censé prendre la place d’un politicien tchécoslovaque invité en France pour dénoncer la politique de son pays. La ressemblance entre les deux hommes est frappante et Jaunes accepte le défi.

Les Hébreux, "libérés" par pharaon, ont entrepris leur interminable voyage vers la terre promise... Mais le peuple a failli être rattrapé par les chars de guerre de Mineptah, revenu sur sa décision. Suite à l'intervention de Moshé, une tempête de sable l'a sauvé du désastre. Suivis de loin par Kéos, tous parviennent dans une vallée escarpée du Sinaï. Parti dans la montagne, Moshé découvre un buisson ardent. Kéos, lui, reçoit un ordre de pharaon : Mineptah lui enjoint de se diriger vers la cité de Pi-Ramès. Il vient d'être nommé vizir de Judée, gage de paix avec les Hébreux... Au camp, les israélites deviennent de plus en plus arrogants. Ils délaissent Moshé, leur religion. Kéos lui, après une chasse aux lions où il a sauvé pharaon, rejoint le peuple de Moshé en simple visiteur. Les hommes, à l'instigation du prêtre Hisram, ont fait fondre les trésors emportés. Un grand veau d'or a été fondu, non pas celui qui représente le dieu Apis mais bien Baal-Phagor. La sarabande peut commencer... En l'absence de Moshé, notre ami parviendra-t'il à enrayer la folie qui s'est emparée du peuple ?...Quel sort réservera-t'il au veau d'or ?... Qui conspire aussi contre le pharaon Mineptah ?.. Quel rôle joue sa favorite ?... Quel est ce lion dont Kéos s'est fait l'ami ?..

Natacha, pulpeuse guide d'intourist, est la grande soeur de Leonid. Nan est son grand frère, ancien de la guerre d'Afghanistan qui en a gardé quelques sequelles. Le grand père de Leonid est un ancien garde rouge toujours vert grâce aux purges staliniennes administrées à l'âge mûr. Et le père et la mère de Leonid sont des échantillons typiques d'homo sovieticus marxus erectus.

Avec le chapeau et le fouet d'Indiana, le chat débile et le chien méchant s'embarquent dans une croisade à la recherche d'un trésor à pied, à moto, en train et en avion.

Rien de plus confortable que de se retrouver dans un univers cossu comme celui de sa majesté la reine et impératrice Victoria et de savoir que le diable va surgir pour tirer la nappe, brusquement ensanglantée, sur laquelle reposaient les tièdes apparences...

Après Moebius, Bilal et Druillet, un invité surprise est au coeur de l'action proprement dite de ce feuilleton BD consacré à la télé : Annie Goetzinger.

Alors qu'il regagne Paris un vendredi soir, la traction du commissaire Raffini tombe en panne à l'entrée de Saint-Hiliaire 1180 âmes. Week-end oblige dans la France profonde et agricole des années 50, entre foire aux bestiaux, résultats de l'étape du Tour, commérages et ragots... Mais Saint-Hilaire offre d'autres curiosités, comme la présence haineuse d'un corbeau, celle d'un sorcier envoûteur et le cadavre d'un garde-chasse. Ici, la mort rôde...

Lors de la Première Guerre mondiale, quelque part du côté de la Mer Rouge. Corto Maltese participe, aux côtés d'El Oxford, à une action contre un fortin dirigé par les Turcs. Ils doivent délivrer le jeune prince Saoud. Et pour cela, ils vont faire équipe avec un personnage dangereux, énigmatique et impitoyable : Cush !

Le 27 juillet 1804 à Paris, après discussion en conseil d'Etat, l'emblème de l'Empire est choisi : ce sera l'aigle. Les fils spirituels de Bonaparte se retrouvent à ses côtés dans la Grande Armée. Les fils de l'Aigle, ce sont eux ! Et parmi ceux-là, Morvan d’Andigny, jeune comte emporté par la folie révolutionnaire et impériale qui secoue la France en ce début de 19è siècle

Au cours de la Grande Guerre, dans une escouade de seconde ligne, deux soldats sont chargés de s'occuper de la "roulante", la cuisine itinérante, et du ravitaillement en nourriture des tranchées du front. Pour y acheminer la soupe, le café et les patates, ils doivent malheureusement traverser une zone placée sous le feu d'un mitrailleur ennemi surnommé "le Croquemitaine" par les Poilus en raison du grand nombre de victimes qu'il a déjà infligées dans les rangs français. Mais, dans ce no-man's land, ils font une rencontre inattendue qui va bouleverser leur destin et leur permettre de mettre au jour une sinistre combine au sein de la tranchée B12...

C'est l'hiver dans les Vosges et la neige recouvre le nouveau cantonnement des Godillots, une usine désaffectée qu'ils partagent avec une unité de Corps Francs. Lors d'une altercation entre les deux troupes, Palette et Le Bourhis découvrent la preuve d'un acte de barbarie commis sur l'ennemi par un soldat de leur propre camp. Ulcéré et révolté, le bouillant capitaine Mougin veut aller restituer l'objet du délit aux autorités allemandes au-delà du front. Ses hommes tentent le tout pour le tout afin de lui éviter le Conseil de guerre. Mais l'intransigeant commandant Desmonnier profite justement de cet instant critique pour lancer une inspection de détail de l'escouade. Rude journée pour nos Godillots !

Pendant l'été 1918, les Godillots sont de service sur un terrain d'aviation de la Marne où l'As des As, Alexandre d'Esterrat, donne une conférence de presse. Lors d'une prochaine parade, il veut faire passer son avion, le "Goéland", sous la tour Eiffel. Adulé, mais piqué au vif par les questions des journalistes, le pilote décide d'aller "arrondir" son tableau de chasse en allant "trouer du zinc prussien". Il décolle aussitôt, emportant par inadvertance un passager clandestin, pour un vol cauchemardesque au-dessus des lignes ennemies...

Février 1916. Les Godillots pataugent dans la gadoue du "Tourniquet" qui mène à la bataille, gigantesque noria de camions bloqués par le dégel. Chacun gère au mieux sa peur. Sauf un soldat, celui qu'on appelle "Serpolet", qui garde un calme étonnant, confiant dans son invulnérabilité. Avec Palette et le Bourru, il est chargé de porter un message en début de colonne. Mais, un accident inattendu chamboule la mission : Serpolet est blessé. Perdu, prenant conscience des dangers qui l'entourent, Serpolet s'enfuit droit devant lui. Il entrâine Palette et le Bourru dans une poursuite délirante vers la tête du Tourniquet où ronronne le grondement de l'Enfer.

10 novembre 1918. La fin des combats est imminente. Les Godillots sont chargés de ravitailler des soldats dans un village isolé. Cette unité est celle des corps francs du capitaine Charton et du brutal Berthier. Ce dernier a une bonne raison de vouloir retarder l'annonce de l'Armistice : un dernier coup de main qui pourrait lui rapporter un fabuleux butin. Un autre soldat a particulièrement besoin de ce butin pour s'installer avec une fille du village dont il est tombé éperdument amoureux. Et ce soldat va bouleverser le destin des Godillots...

Jugés coupables de menus larcins, HOnoré, Adrien, Miguel et Jean ont été condamnés à un séjour longue durée à la colonie pénitentiaire agricole. Et ce bagne a beau être fréquenté exclusivement par des mineurs, ces derniers ont depuis longtemps perdu toute innocence. Humiliations, asservissement, répression et abus en tout genre seront leur pain quotidien... Pour faire face, les quatre amis de fortune se promettent de rester unis et de lutter. Car, dans cet enfer cautionné par la nation, une seule maxime fait loi : "le vrai courage ne se laisse jamais abattre !".

"- Ils ont toujours pas ramené l'Espagnol... - Non... Pourtant, paraît que le fils Vermillon s'est démené toute la journée... - Tu crois que l'Espagnol a réussi ? - Sais pas... Ce serait bien..."