Elodie aimerait tant que Mathieu s'intéresse à elle ! Si elle s'habillait comme les Spice Girls, il la remarquerait peut-être... Elle pourrait même couper ses tresses, se teindre les cheveux en rouge et vernir quelques mèches en bleu...

Rémi a fait une grosse bêtise et un inspecteur doit venir à l'école. Pour l'arrêter, le mettre en prison ? Quelle angoisse ! Ce n'est pas sa pire ennemie, Elsa, qui va arranger les choses.

Toute la classe va visiter une boulangerie. Mais Brutus, Léontine et Hector ne réussissent jamais à se conduire comme des élèves sages. A cause de leurs bêtises, la maîtresse va-t-elle plonger la tête la première dans le pétrin ?

Quand tout vous tombe sur la tête, à vous, rien qu'à vous, faut-il en rire ou en pleurer ? Après la tristesse, Gustave va apprendre à en rire. « Gustave la Poisse » traite du positivisme. Par le biais de ce porcelet malchanceux, on découvre comment on peut tirer profit des petits aléas de la vie parfois difficiles à surmonter.

Voici l'histoire un peu bizarre, d'une grenouille qui en avait marre de régner sur une petite mare...

En volant une boîte de crayons à sa petite soeur, Bertrand ne s'attend pas à voir revivre les petites souris qu'il dessine.

Un conte-poème tout en humour et en tendresse, transmis de génération en génération par la tradition orale africaine. Il sensibilise à la différence et bouscule les idées reçues.

François n'aime que les histoires que lui raconte son papa et que lui seul connaît. Mais s'il veut que sa maman les lui raconte, il faudra les écrire pour qu'elle puisse les lire...

Qui de Rita, la tortue ou de Clébard, le chien va gagner le poste de gardien dans la ferme ?

L'auteur a sélectionné douze buts de visite. Ce sont des espaces de la ville, choisis parmi les plus beaux. Le quai d'Orléans, la place des Vosges, la Grande Arche, la place de l'Etoile : tous sont des lieux absolument spécifiques de Paris, capables à eux seuls de faire comprendre pourquoi cette cité ne ressemble à aucune autre.

L'annonce d'un cancer provoque encore, pour le malade et pour son entourage, l'effet d'un véritable séisme. Tout est remis en question : l'avenir du sujet atteint, l'équilibre de la famille... La lourdeur et les conséquences de certains traitements accroissent le désarro. Mille problèmes se posent : faut-il materner le malade ? Comment éviter l'isolement quand les amis s'éloognent ? Et s'il baisse les bras ?... Les conseils concrets, les exemples vécus -et les adresses utiles- de ce livre, aideront l'entourage à faire face à toutes les situations matérielles, pratiques, psychologiques qui évoluent avec la maladie, et aussi, à tenir lui-même le coup.

Elle égare ses clés, ses lunettes, son chéquieràElle repose sans cesse les mêmes questionsàElle croit que tout le monde la voleàL'affaiblissement cérébral de certaines personnes âgées n'attriste pas seulement leur entourage, il pose bien des problèmes : peut-on la la laisser seule ? Comment l'amener à ne plus conduire ? L'empêcher de "tourner en rond" ? Et que faire pour ne pas craquer soi-même ? L'auteur répond à toutes ces questions, d'ordre matériel ou psychologique, avec sa compétence et sa longue expérience mais aussi, avec un tact, un sens des nuances, une compréhension qui donnent à la situation toute sa dimension humaine.

J’écris rien que pour retrouver en quel lieu j’eus la révélation parce que j’ai oublié ce lieu ainsi que toute révélation. Alors selon l'usage je célèbre l'inconnu pour tant bien que mal assurer mon existence. C'est l'utilité des fantômes que de figurer ce qui n'a jamais eu de figure et se doit de naître un jour. "Poèmes comme ça" d'André DHÔTEL, présentation de Jean-Claude Pirotte, éditions Le temps qu'il fait.

La poésie c'est bon pour les oisons les oiseuxles oisifs disait mon père et tu ferais mieux d'apprendre le code civil, moi j'apprenais le tango la biguine à dire je t'aime en catalan en corate et turc en polonais aujourdh'ui je ne dis plus jamais je t'aime à personne en aucune langue je suis là vieillissant dans la bicoque du faubourg frappée aussi d'alignement.

Le mardi 17 octobre 1961, trente mille Algériens, souvent en famille, manifestent pacifiquement, à l'appel du FLN, dans les rues de la capitale contre le couvre-feu raciste qui leur est imposé par le préfet de police, Maurice Papon et le gouvernement. Une répression d'une férocité inouïe s'abat sur eux. La police tire sur les cortèges. Quinze mille manifestants sont arrêtés. Parqués dans des stades, emmenés dans des sous-sols, affamés, battus et torturés, assassinés...

Quand un coq fier comme Artaban vole les plumes de ses congénères pour mieux parader, le poulailler est en émoi : heureusement, ces dames sauront prendre leur revanche !

Petit Ours a bien du mal ce soir à s'endormir. La nuit est trop noire, il n'y a pas de pouce à sucer, le pyjama gratte : tous les prétextes sont bons pour ne pas aller au lit. Comment Maman Ourse va-t-elle s'y prendre pour que le marchand de sable passe enfin ?